Zone Totem
À l’issu de cet atelier, chacun.e des participant.e.s détient un totem qui pourra être utilisé dans un support retraçant leur histoire ou choisi comme image représentative si le/la participant.e ne souhaite pas être photographié.ée.
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Durée
environ 1h
Public
Des personnes directement concernés par la question migratoire. L’atelier fonctionne avec des adultes comme des enfants. L’approche sera adaptée en fonction du public ( avec les enfants, par exemeple, on peut animer les totems puis les faire interagir dans une histoire).
Objectif
Construire son totem migrateur
Matériel
- - Colle
- - Ciseaux, scalpel
- - Encre de chine
- - Pinceau
- - Plume et porte-plume
- - Feutre
- - Liste de photographies d’animaux migrateurs (mammifères,poissons, insectes, oiseaux…)
But
- Donner la possibilité aux participants d’exprimer leurs forces et leurs qualités par une métaphore.
Préparation
- Prendre des feuilles A4 et réaliser avec un pinceau (ou au feutre, à la plume ...) et de l’encre de chine des matières (coups de pinceaux, coup de plume, trame …) ou utiliser des feuilles de matières préparées en annexe (au choix?)
- Une fois les feuilles de matières préparées, les laisser sécher. S’installer autour d’une table et à tour de rôle, choisir un animal migrateur à partir de la liste de photographies des animaux.
- Après que l’animal soit choisi, à tour de rôle, choisir pour son voisin un adjectif qualificatif (uniquement positif) qui le représente le mieux afin de le mettre en valeur, de le mettre à l’aise.
Une fois l’animal ainsi que l’adjectif désigné, nous pouvons passer à la fabrication du totem.
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Prendre sa feuille de matière, et commencer à découper les formes qui structureront le totem. Il faut garder à l’esprit que cet atelier est avant tout là pour décomplexer les personnes, les mettre à l’aise et confiantes.
Le découpage de papier est une bonne méthode car on n’a pas nécessairement besoin de savoir dessiner pour aboutir à de jolis résultats.
- La finalité de l’atelier serait de permettre d’exprimer à chacun.e des participant.e.s ses forces et de parler de la migration de manière non frontale. Lors de la fabrication, les discussions vont reserrer les liens entre les participants et l’animateur.rice.s. Elles vont également permettre de récolter des récits que l’animateur.rice pourra éventuellement restranscrire.